Le plaisir pris à l’audition de textes fait souvent naître l’envie de pratiquer, à son tour, cet art qui ne requiert aucun autre instrument qu’un livre et une voix.

Plus léger que le théâtre, moins complexe que la musique, l’art de la lecture à voix haute s’apprend néanmoins et se perfectionne avec le temps et le travail.


Une première phase de sensibilisation assez simple peut être organisée avec les publics francophones et francophiles qui le désirent. Elle se base sur une approche de la voix parlée et de l’interprétation, et donne aux participants les éléments nécessaires à une mise en œuvre immédiate, qu’ils peuvent eux-mêmes améliorer ensuite par la pratique.

Un livre, une voix, et des univers se créent. Aucun matériel spécifique n’est requis. Pour les ateliers, on choisira de préférence un endroit calme, où le travail d’oralisation ne risque pas de gêner l’entourage et où, idéalement, les participants peuvent s’allonger pour faire l’expérience corporelle de leur respiration.

En fonction du contexte, les séances seront plus ou moins longues, plus ou moins fréquentes, et pourront s’adresser à des participants d’âges variés. Un programme conçu à l’intention des formateurs est envisageable